Cahier économique 2017 - page 14

SAMEDI 11MARS2017
leQuotidien
14
LOUISPOTVIN
LeZoosauvagerecrutedesem-
ployéspartoutàtraverslaprovince
pour répondreàsesbesoinsde
main-d’œuvre.
«Nousn’avonspasdedifficultésde
recrutement,mais il faut s’afficher
etrendrenosemploisattrayants.La
concurrenceest forte. Par contre,
nous avons l’avantaged’offrir des
emplois stimulants et les jeunes
aimentpouvoirprendrede l’expé-
rience enétant dans unenviron-
nementcommelenôtreavecplein
d’animaux»,mentionne la biolo-
gisteChristineGagnon.
Il y a quatre familles d’emplois
au site touristique, les employés-
cadres, lesemployés réguliers, les
étudiants spécialisés et les étu-
diants. Les efforts sont particuliè-
rement faits auprèsdes étudiants
enbiologie, écologie,milieunatu-
rel ouaménagement cynégétique
et halieutique pour les emplois
étudiantsplusspécialisésqui vont
se retrouver guide aventure ou
naturaliste. «Souvent, lesétudiants
passent plusieurs saisons avec
nous. Plusieursontmêmedécro-
ché un emploi régulier au cours
desannées.Selonletyped’emplois,
nosétudiantsreçoiventuneforma-
tionde40heurespourbien infor-
mer les visiteurs. Leserviceclient
est uneprioritéauZoo sauvage»,
mentionne ladirectrice générale
LauraineGagnon.
Lesitetouristiqueengagede75à
80étudiantsparété.Lenombrede
travailleurs gonfle à 170 auplus
fort de la saisonestivale. «Le zoo
c’est comme une petite ville. Il y
a de nombreux types d’emplois.
Nous sommes ouverts sept jours
sur sept et le soir avec le ciné-
ma et Anima Lumina. C’est un
beau défi et nous sentons que
nos employés et les étudiants
sont fiers de travail au zoo»,
ajoute-t-elle.
Même si le site touristique
embauchebeaucouppour la sai-
sonestivale, ellesepermet le luxe
de choisir les candidats. «Nous
sommes assez sélectifs dans nos
choix. Nous avons d’exigences
d’excellences qui prime», men-
tionneChristineGagnon.
Àpart l’embauched’un spécia-
liste enmarketing et d’une vété-
rinaire, le zoo n’éprouve pas de
difficulté de recrutement. «Pour
lepersonnel d’encadrement, c’est
unplus compliqué. Il ne faut pas
oublier que nous sommes loin
desgrandscentres.Ce typed’em-
ploi spécialisépeut-êtreplusdiffi-
cile.Desvétérinairesdezoo, il n’y
enapasdes tonnes».
ZOOSAUVAGEDESAINT-FÉLICIEN
DesemployésdesquatrecoinsduQuébec
Lesitetouristiqueengagede75à80étudiantsparété.Lenombredetravail-
leursgonfleà170auplusfortdelasaisonestivale.
—ARCHIVESLEQUOTIDIEN
Il yaquatrefamillesd’emploisausitetouristique, les
employés-cadres, lesemployésréguliers, lesétudiants
spécialiséset lesétudiants.
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